
"D'autres vies que la mienne" pose - sans le vouloir ? - une question essentielle sur l'art : doit-on forcément souffrir dans la vie pour être créatif artistiquement ? Et la réponse est loin d'être claire : car en abandonnant ses fictions cérébrales et imprégnées de ses souffrances intimes, en admettant qu'il a trouvé (enfin) le bonheur dans la vie (dans l'amour...) et que pour ce faire, il a appris à regarder la souffrance et le bonheur d'autres gens, de gens plus simples, plus "normaux" aurait-on envie de dire,...
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