
Oui, le rock a besoin de ces jeunes femmes qui crient, qui tempêtent, qui chantent des douleurs ou des transes qui ont toujours été incompréhensibles au mâle rocker moyen. Oui, les froids pays scandinaves nous alimentent désormais régulièrement de nourritures pop littéralement célestes, recyclant les codes anglo-saxons avec une efficacité nordique qui laisse pourtant place à bien des fantômes troublants. Oui, Lykke Li, entre pop spectorienne et ambiances à la Kate Bush, nous intrigue, nous intéresse. Pourtant, quelque chose ne...
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