
A la seconde saison de "Sons of Anarchy", les similitudes avec le formidable "The Shield" deviennent plus flagrantes : confusion morale qui brouille le jugement du spectateur vis à vis des personnages, célébration païenne d'une virilité brutale (le gang, ou plutôt ici, "le club") avec ses règles et ses codes, qui n'empêche nullement la création de superbes personnages féminins (Gemma est certainement le centre magnétique de cette saison), et au final recherche assez idéaliste d'une éthique qui transcenderait les lieux communs. Moins...
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