
Ça fait drôle de revoir aussi longtemps après l'un de ces polars baroques de la période post-hitchcockienne de la carrière de De Palma : on est immédiatement frappé par tout ce que "Pulsions" a de déviant, de hors normes par rapport à la production hollywoodienne, d'alors comme d'aujourd'hui. Un scénario passant le relais entre les personnages, avec d'étonnantes digressions "gratuites" (la superbe visite du musée), une méchanceté assez dégueulasse, ou en tout cas peu politiquement correcte, envers la sexualité féminine, une direction...
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