
En 1973, "Dark Side of the Moon" m'avait définitivement fâché avec Pink Floyd qui était l'un de mes groupes favoris : simplisme des paroles qui rabâchaient des clichés contre le stress de la vie moderne, profusion d'effets sonores, certes impressionnants, mais qui transformèrent vite l'album en une simple galette de démonstration pour chaînes HiFi, variété des styles musicaux qui éloignait le groupe des grandes fresques psychédéliques que j'aimais, bref "le disque de la fin". En 2011, "Dark Side of the Moon" a tout de la madeleine de...
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