
Trois cent pages de plus qui s'ajoutent à la brillante saga adolescente / "à l'eau de rose" qu'est "Happy"... Et ça continue : aucune trace d'une quelconque baisse de régime ! Au contraire, Urasawa semble faire preuve d'une virtuosité croissante, autant lorsqu'il fait monter le suspense tout au long d'un match de tennis à multiples rebondissements (Ah ! Ces scènes où Miyuki joue "contre la montre" en chaussettes, puis pieds nus !) que lorsqu'il en remet une couche en termes de mélodrame (mémorable scène d'expulsion des enfants sous la...
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