
Ce qu'on aime dans cette septième et avant dernière saison de nos chères ménagères désespérées, c'est le retour à une vraie justesse des situations quotidiennes (par exemple la manière dont un couple se désagrège peu à peu, un moment particulièrement fort de cette saison), portée par une interprétation solide, moins dans l'excès que par le passé (Eva Longoria, peut-être pour la première fois vraiment touchante dans son amour pour sa fille perdue ou sa confrontation avec les spectres de son passé). En ce qui concerne l'habituel...
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