
Lorsque, après une trop longue souffrance sur des
morceaux de musique folklorique de Syldavie et de chants des chevaliers de la
table ronde avinés (on espère très fort que ce n'est pas Alison Goldfrapp qui a
choisi le fond sonore pour l'entracte !), vers 20 h 50, "la secte de Goldfrapp"
entre en scène, devant un décor à la fois chic et paysan (un fond de scène
constitué d'entrelacs de joncs ou assimilés, sur lequel les lumières et les
images projetées seront du plus bel effet), j'avoue que je ne suis pas ...
[Lire la suite]