
Plus de 40 ans après, "Pas de Printemps pour Marnie" reste l'un des films les plus tourmentés de Hitchcock, voire les plus malaisants pour le spectateur, incapable tout au long des 2 heures que dure "la torture" que s'inflige le Maître (dévasté par sa propre passion obsessionnelle pour Tippi Hedren, érigée comme ultime symbole de toutes les blondes frigides qu'il rêve de faire jouir et n'a même pas le droit de toucher) de comprendre à quoi il assiste : un thriller psychanalytique ? (mais les jeux freudiens...
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