
Alors que Kitano s'est sauvagement sabordé au cours de la dernière décennie, préférant - non sans une certaine élégance destroy - la bouffonnerie et la confusion à la consécration artistique, que nous dit encore son "Hana Bi", que j'ai personnellement toujours considéré comme son plus beau film, parce qu'en équilibre dangereusement instable entre ses "yakuzas-films" sadiques et ses "mélodrames" jugés trop "faciles" ? Que le cinéma, même après plus d'un siècle d'existence, reste capable d'inventer de la forme, de nouvelles manières de...
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