
Avec son quatrième album, W.E.S.T. vient sans doute de passer un seuil d'excellence, arrivant pour la première fois à atteindre une certaine fluidité narrative - la grande faiblesse des 3 premiers épisodes, pour moi, était cette relative confusion dans la construction des récits, en outre paradoxalement desservis par l'ambition graphique de Rossi. On arrive enfin à adhérer à cette belle fresque de politique-fiction, aidés il est vrai par l'intérêt intrinsèque du sujet, la résistance des Cubains à la main-mise capitaliste américaine au...
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